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Bingo Crépuscule

Bingo Crépuscule
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Bingo Crépuscule
Archives
28 mai 2009

My kind of love story

C'est pas de l'amour c'est de l'amour-prore. J'ai honte.
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27 mai 2009

Mon côté on-construit-des-bombes

Bon tant pis pour les posts privés, je créerais peut-être un autre blog en parallèle plus perso, en tout cas je peux pas me résoudre à abandonner celui-ci, je l'aime trop. Bref, comme la plupart des mercredis (j'aime bien bader le mercredi) je craque. Je viens d'avoir des putains de notes de merde et j'ai l'impression que c'est l'apocalypse, la fin du monde. J'ai trop peur de pas y arriver, d'être nulle. Je PEUX PAS être nulle, je peux pas me permettre ça sinon je perds tout. J'ai trop peur de l'avenir, j'ai l'impression de tout faire pour que tout se passe bien et de tout foirer. J'essaies tellement tout le temps d'être parfaite que ça en ai d'autant plus épuisant que ça ne porte pas (toujours) ses fruits. J'ai tellement envie d'insulter fort fort sans avoir peur d'après, de faire n'importe quoi, de me foutre de ce que pense les autres. Comme avant. Mais là j'ai tellement une putain de pression sur les épaules que je m'étonne de pas avoir une scoliose et d'être toute bossue. J'en peux plus de me soucier de ce que pense les gens. C'est pas que je veuille être aimée, populaire de mes deux tout ça, je cherche uniquement à ne pas être detestée. Autant quand j'étais au collège je jouais avec cette réputation de peste, autant maintenant j'en ai une horreur qui tourne à l'obsession. Je sais que c'est uniquement scolaire, et que à côté ça va "bien" mais j'ai tendance à me faire une montagne de tout en ce moment. Si vous saviez à quel point ça compte pour moi d'être intelligente. C'est ma seule qualité fiable. Sentimentalement, j'ai le cul entre deux chaises. Je vais perdre ce petit plus incontrôlable que je détèste depuis des mois, mais à l'approche de cette perte inévitable, j'hésite, je suis indècise, je cède presque. (je parle en code, pardon, je réitère ma demande de mot de passe les filles).
20 mai 2009

Island in the sun

Je deviens paranoïaque. Corny m'a donné l'idée, si quelqu'un sait, comment on fait pour mettre un mot de passe dans ses articles (je me mords les doigts d'avoir donner l'adresse du blog sur msn pour me censurer bêtement), je suis prenante.
16 mai 2009

Tu, mio

Je tarde à revenir et pourtant ce n'est pas l'envie d'écrire ici qui me manque. Bien au contraire, j'ai, ces derniers temps, une soif d'écrire, de balancer tout et n'importe quoi qui ne tarit pas. Pourtant, j'ai un blocage (comme je l'ai peut-être déjà expliquer à Suz ou à Lounette) qui fait que je ne sais absolument pas quoi dire. J'aimerais vraiment vous parler de ce vide que je ressens parfois mais je ne sais pas, j'ai peur que vous vous arrêtez à cet aspect de moi. J'ai grandi et j'ai plus trop envie de me plaindre pour des gamineries. Mais voilà. J'ai envie de dire un tas de choses que je ne dis pas en fait. Parce que j'en ai pas l'occasion, parce que j'ose pas, je sais pas trop. Mais à force, j'ai peur de perdre toute ma spontanéité et ma franchise. Cette sorte de vérité et de pureté qui m'obsède et que je prône. Je veux juste lâcher prise une fois, être gentille sans avoir peur de me faire arnaquer et de souffrir. J'ai envie d'être gentille et de dire je t'aime. Et qu'on me réponde moi aussi, fais-moi confiance. Ni perfection, ni grandes phrases lyriques merza. Des paroles simples et vraies de quelqu'un qui n'a pas peur. Parce que moi j'ai très peur. Lâches prise, fais-moi confiance. J'espère que j'ai pas fais trop de chichis parce que je m'étais promise de ne plus en faire. Btw j'ai eu ma convocation de bac et la pression qui va avec (genre), ainsi que les cheveux coupée a little bit.. Et puis c'est tout. I love you much les cocos.
18 avril 2009

Then light me a smoke so I can sing some jazz

Je suis back dans les bacs, bientôt. En attendant, nouvelle présentation (que j'aime bien). Besos
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24 mars 2009

Plus tard, je serai comédienne

Je te dis les ultimes mots. Au moment où ma voix n'est plus qu'un soupir, un souffle délicat. Tu restes suspendu à mes lèvres tremblantes qui laissent échapper ces douceurs tant attendues et redoutées. Moi, sentant venir la sentence irrévocable - le bonheur qui m'est volé avant même de m'appartenir, je me justifie. Je t'assome de mes phrases mièvres qui, au lieu de te conquérir, ne serviront qu'à te faire fuir plus loin encore. C'est là que viennent la main sur mon front fiévreux ainsi que les larmes coulant le long de mes joues - pâles, poudrées et creuses : ma dernière arme. Tu hésites, je le vois. J'ai encore une chance, j'ajoute en vitesse des regards suppliants à mes grands yeux noirs et immenses baignés de larmes. Tu passes la main dans tes cheveux. Après la frustration vient la colère. Tu fronces les sourcils et - je te reconnais alors une résistance inattendue, détournes la tête. Souffrant mais fier, tu crois avoir pris le dessus sur tes sentiments et être à l'abri de toutes attaques. Tu oublies que si tu ne peux plus voir mon visage, tu sens encore ma présence. Je baisse la tête, honteuse, pour te donner l'air de me soumettre. Et une seconde après, je pose une main maladroite sur ton torse. Tu succombes, enfin. Tu me prends doucement par la taille. Tu hésites une dernière fois, et puis non, tant pis, tu n'hésites plus. Tes lèvres s'approchent des miennes. Le rideau tombe, la foule applaudit. ******* Fictif, mais illustre (exagérément) bien mon talent (et mes réflexions) de manipulatrice. De toute façon, plus tard je serai comédienne.
7 mars 2009

Je n'ai pas envie de te plaire

Je ne pouvais pas supporter l'absence de musique. Entendre le bruit de mon coeur, me regarder assise là, à ne rien faire, à penser à ce que ça pourrait être, ne pas être. Rêver, cauchemarder. Il m'était impossible de me rendre compte de l'état stupide et léthargique dans lequel je me complaisais. Boumboum boumboum. J'ai tant regretté ce que j'ai dis, ce que j'ai fais. J'étais effondrée devant cette accumulation d'échecs qui était mienne, ces mensonges et ces faux-semblants qui me collaient à la peau, malgré moi. Je n'existais que par ces préjugés et ces moqueries. Mes démons, c'était eux. Je me sommais d'arrêter cette paranoïa, en vain. Depuis le début, j'y avais accordé beaucoup d'importance et m'enfonçais petit à petit dans une fausseté qui ne me correspondait pas. Je crois que les Autres se plaisent dans cette hypocrisie. Ils la fignolent, la transforment, elle est leur. Ils savent la mettre de côté, puis la reprendre, sans servir comme arme ou bouclier. Elle était bien trop lourde pour une fille comme moi. Je l'ai jeté, je ferais sans et je n'ai plus peur. Je n'ai plus peur car je suis intimement persuadé - et je sais, que je suis plus Vraie que vous. Alors je l'écoute, ce silence.
5 mars 2009

Quelle espèce de servante es-tu donc, avec ton air de princesse ?

(je suis - enfin - heureuse) ♥
22 février 2009

Banlieusard

"T'as fais le ménage dans ton coeur et tu m'as mis un coup de balai"
21 février 2009

pensée philosophique du matin

Un truc me frustre. Vous voyez, dans ma classe il y a une sorte de poupée gothique. Genre, allure un peu hautaine et tête d'incomprise. J'avais envie d'aller la voir et lui dire "c'est bon, pète un coup, on est tous (ou pas en fait) passer par la case visual-kei". Evidemment je l'ai pas fais. Et y a pas longtemps, elle m'ajoute sur facebook, et en effet, je ne m'étais pas trompée. Fin de l'histoire. Bref, je me demande, du coup, pourquoi les gens se collent des étiquettes. Si je me ramenais au lycée en vans trouées, pantalon trop large et sac multicolore je serais plus cool ? Je sais pas. Je me demande ce que je serais, avec qui je trainerais si je m'habillais différement. Ca me frustre de me dire que je suis classée dans une catégorie parce que je me fringue de telle ou telle manière . Pareil pour la musique. Tiens, j'écoute du Rihanna et je suis même pas une petite fashion écervelée.
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